La lumière de Dieu: Sainte Marie Mancini de Pise († 1431)

Sainte Marie Mancini de Pise († 1431)

Marie Mancini de Pise († 1431)

Catherine Mancini, fille d'une haute famille de Pise, étant encore au berceau, vit son Ange gardien et en reçut un avertissement qui préserva ses jours.

Quelques temps après, elle en eut une seconde visite, et dès lors il s'établit entre l'âme virginale de l'enfant et l'esprit bienheureux un mystérieux échange de prières et de grâces.

C'est à cette école que Catherine apprit les secrets de l'amour divin.

Elle eût désiré n'être épouse que de Jésus-Christ, elle fut obligée au mariage par son père ; mais elle perdit en peu de temps son mari et deux petits enfants.

Contrainte à une seconde alliance, Catherine, malgré son attrait pour la vie religieuse, obéit de nouveau.

Dieu saura tirer Sa gloire de son obéissance et purifier cette âme d'élite par le sacrifice.

En quelques années, elle fut entourée d'une nombreuse famille.

Au milieu des occupations, des fatigues, des peines que lui donnaient le soin de sa maison et l'éducation de ses enfants, elle sut, par un emploi actif et minutieux de tous ses instants, trouver le loisir de s'entretenir avec Dieu dans la plus haute contemplation.

Sa charité était inépuisable ; jamais un pauvre ne frappait en vain à sa porte.

Elle se plaisait surtout à soulager les malades, à panser leurs plaies, à leur distribuer, avec des aumônes, des paroles de paix et de consolation.

Dieu l'éprouva encore par les pertes bien douloureuses de ses six enfants et de son époux lui-même.

Elle rejeta dès lors toute alliance terrestre, fit vœu de jeûner quatre fois la semaine, de prendre chaque jour une rude discipline, et de ne se permettre un léger repos que sur un lit de planches.

Bientôt même elle quitta le monde pour entrer au cloître, dans l'Ordre des Sœurs de Saint-Dominique.

Désormais elle s'appellera sœur Marie.

Là elle se distingue par d'héroïques excès de pénitence, qui lui méritent des visions célestes, et par un zèle admirable pour la délivrance des âmes du purgatoire.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

Source

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La Bienheureuse Marie Catherine Mancini, née en 1355 à Pise et morte dans la même ville le 22 janvier 1431, est une religieuse dominicaine italienne.

Le Pape Pie IX confirme son culte le 2 août 1855.

Inscrite au Martyrologe romain le 22 décembre, elle est fêtée par l'Église catholique le 30 janvier.

Biographie

Marie Mancini est la fille légitime d’une famille de la noblesse de Pise. Au baptême, elle reçoit le nom de Marie Catherine Mancini.

En 1367, à l'âge de 12 ans, elle épouse Baccio Mancini, issu d’une famille de la noblesse. Son époux meurt en 1371 et elle devient veuve à 16 ans avec deux enfants à charge. Elle épouse en secondes noces Guglielmo Spezzalaste. Ce couple a six enfants, qui meurent en bas âge.

En 1380, à l'âge de 25 ans, elle entre au monastère dominicain de Sainte Croix sous le nom de Marie (Maria en italien) Mancini.

Elle meurt le 22 janvier 1431 à Pise.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Mancini_(religieuse)

(Traducteur Google)

Maria Mancini (Pise, 1355 - Pise, 22 janvier 1431) était une religieuse italienne a été déclarée bienheureuse par l'Église catholique.

La bienheureuse Maria Mancini était une disciple de sainte Catherine de Sienne.

Biographie

Mariée au noble pisan Baccio Mancini, qui la laissa bientôt veuve, et après avoir perdu les deux enfants nés de ce mariage, elle épousa Guglielmo Spezzalaste, avec qui elle eut six enfants, qui moururent bientôt également.

Malgré son jeune âge, mais après avoir vécu une vie intense et pleine de souffrance, à l'âge de vingt-cinq ans, Marie entra au monastère dominicain de Santa Croce, le même fréquenté par la jeune religieuse Chiara Gambacorta, la première prieure du monastère.

Maria Mancini est décédée le 22 janvier 1431.

Elle est enterrée à Pise dans l'église du monastère de San Domenico. Ses reliques ont été exposées dans l'église de Santa Caterina à Pise.