Marie von Mörl

Marie von Mörl

Maria von morl est née le 15 octobre 1812 à Kaltern en Italie.
C'est la deuxième fille de Maria Katharina Solva et Joseph Ignaz von Morl.  
Sa mère avait 17 ans, et son père 20 ans quand ils se sont mariés.
Elle était d'une famille de classe moyenne.
Lorsque Maria a d'abord été admise à la sainte Communion à l'âge de 10 ans, «elle semblait avoir des sentiments de foi profonde et d'amour sincère, dès qu'elle a reçu la sainte Hostie, elle s'est effondrée» (selon son premier biographe, Maria von Buol dans le petit livre Herrgottskind (enfant de Dieu).

 La Mère de Maria portait un enfant presque chaque année, elle est morte en couches au 11ème. Maria avait alors 13 ans.  
Etant la fille aînée, elle s'occupa de ses frères et sœurs et du ménage, son père a préféré aller à la chasse.
Trois de ses frères et sœurs sont morts pendant l'enfance, trois entrèrent dans un monastère.
A l'exception d'un frère, qui s'est marié, les autres sont restés célibataires.


A 17 ans,  Maria von morl a eu son propre père-confesseur, qui se préoccupe presque exclusivement d'elle.
Elle s'est remise à Pater Johannes Kapistran Soyer (pas sans controverse) direction spirituelle jusqu'à sa mort en 1865.
Pendant longtemps, il était le seul qui pouvait  la libérer de son état extatique.
He required flagellation of her and flagellated her himself until her blood spattered the walls. Since her condition seemed to be caused by demonic torments, such punishment made sense, given the context of how mysticism was understood at the time, according to theologian Nicole Priesching: flagellation and self-martyrdom were not only an attempt to become one with Christ's suffering, but also to do penance for her father and for the misdeeds of others in general.
Des exorcismes ont également été entrepris avec elle à plusieurs reprises, après avoir vomi du crin de cheval, des clous et des aiguilles et avait tenté de se jeter par la fenêtre.
"Après avoir été renforcée par la sainte communion, elle était terriblement tourmentée  en raison d'un acte répréhensible qui a été commis la nuit.
Elle est décédée le 11 Janvier 1868, dans sa 56e année et la 36e année "de sa contemplation extatique».

Elle avait toujours prié pour que ses stigmates ne soient plus visibles après la mort. Le 8 Janvier, trois jours avant sa mort, les cicatrices s'étaient estompées. Après sa mort, ceux-ci ont disparu.

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