Missel

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Le missel est un livre liturgique dans lequel on trouve tout le texte pour la célébration de l'eucharistie (chants, lectures, prières et même des indications pour les gestes). Il en existe deux modèles : le missel d'autel destiné à l'usage du célébrant, et le missel paroissien, destiné au fidèle.

Il est aussi lié à un service que peuvent pratiquer les servants d'autel : le rôle de porte-missel, ce dernier consistant à présenter ce livre au prêtre célébrant quand il en a besoin pour lire les différentes prières.

 

Différents missels


Missel
 Missel romain

Du point de vue du contenu, il n'y a pas de missel unique ou uniforme, mais autant de missels qu'il y a de rites dont la liturgie eucharistique suppose le recours à un tel livre : la plupart des diocèses et des ordres religieux ont eu leur missel particulier, avec plusieurs éditions. Ainsi, le Missel romain est le livre de la célébration de la messe selon le rite de l'Église romaine ou rite romain, mais on parle aussi de Missel tridentin pour le missel romain codifié à la suite du concile de Trente (voir ci-dessous), de Missel ambrosien pour le livre de la célébration de la messe selon le rite de l'Église de Milan ; de Missel cartusien pour la célébration de la messe selon le rite cartusien ; de Missel cistercien chez les Cisterciens, de Missel dominicain chez les Dominicains ; de Missel wisigothique pour le livre de la célébration de la messe selon le rite de certains diocèses d'Espagne, etc.

Tous résultent d'une double tendance pratique et identitaire. La tendance pratique consiste à vouloir réunir en un livre toutes les pièces nécessaires à la célébration de la messe durant toute l'année. La tendance identitaire relève du besoin de réunir les éléments typiques qui font l'identité d'un rite et le distinguent soit des autres familles rituelles, soit d'autres éditions du missel de la même famille rituelle (Missel tridentin).

 

Origine du missel

Le missel, dit missale plenum, apparaît autour du XIe siècle dans l’Église latine. C’est le regroupement de plusieurs livres : le sacramentaire avec la prière eucharistique (canon), les oraisons et les prières, l’évangéliaire et l’épistolier pour les lectures ou péricopes de l’Écriture Sainte, un ou plusieurs livres pour les répons et les chants (Graduel ou Antiphonaire de la messe). Peu à peu, les manuscrits intégrèrent toutes ces parties en un ou plusieurs livres formant un tout.

Au début du XIIIe siècle, les ordres mendiants apparaissent : la particularité de ces communautés est d’être itinérantes, et de ne pas être fixées dans un diocèse en particulier. Une grande diversité de rite existe alors dans l’Église latine, variant d’un diocèse à l’autre, aussi bien au niveau des formes qu’au niveau du calendrier. Le besoin se fait sentir d’un rite commun à tout l’ordre. Saint François d’Assise recommande à ses frères d’utiliser le rite de la curie romaine, adapté à un apostolat itinérant.

Dans toute l’Église latine, l’usage missel plénier se généralise entre le XIIIe et le XVe siècle. Un grand nombre de diocèses et d'ordre religieux publient leurs éditions propres. Suite à la bulle Quo Primum, l’ensemble de l’Église latine utilise le missel romain, à l’exception des diocèses et des ordres religieux qui ont un rite propre suffisamment ancien.

Ainsi le missel mozarabe pour le diocèse de Tolède, le missel de Braga pour l’archidiocèse de Braga, le missel romano-lyonnais pour l’archidiocèse de Lyon, et le missel ambrosien pour l’archidiocèse de Milan vont se maintenir jusqu’à nos jours.

Certains ordres religieux comme les chartreux avec le rite cartusien, les dominicains avec le rite dominicain, les cisterciens avec le rite cistercien, les prémontrés avec le rite prémontré et l’ordre du Carmel avec le rite carmélite vont aussi conserver un missel propre.

 

Le missel romain

Comme le reste de l'Église latine, le diocèse de Rome a ses propres livres liturgiques.

Dès l'époque carolingienne (fin du VIIIe siècle) l'aura grandissante de la papauté favorise l'adoption de certains de ses livres liturgiques par de nombreux diocèses.

Au XIIIe siècle, le missel de la curie se répand sous l'influence des ordres mendiants. L'édition imprimée de 1474 a une grande diffusion.

 

L'unification tridentine, moyen de contre-réforme

Le concile de Trente, en 1563, soucieux de la « doctrine touchant au saint sacrifice de la messe », demande au pape de veiller à la perfection doctrinale des manières de dire la messe dans l'Église, en réaction aux hérésies protestantes sur ce sujet. Le pape Pie V répond à la demande du concile avec la bulle Quo primum, par laquelle, il promulgue, le 14 juillet 1570, son édition du Missel romain. Il en rend l’utilisation obligatoire dans toute l’Église latine, en faisant exception uniquement pour les endroits où un autre rite a été célébré pendant plus de deux cents ans.

 

Protestantisme

Par analogie avec les missels latins, certaines églises chrétiennes issues de la Réforme protestante éditent des livres ordonnant le rite de leur liturgie eucharistique en langue vernaculaire ; à dessein, pour se distinguer et par opposition doctrinale et ecclésiologique avec la "messe romaine", ils ne prirent pas le titre de 'missel' ou le reçurent improprement. Ce n'est que tardivement que le terme, ayant perdu sa signification confessionnelle initiale, fut réadopté par certaines églises issues de la Réforme.

 

Luthéranisme

Martin Luther participe à l'organisation du culte à Wittemberg en 1523, malgré ses réticences pour ce qui ne lui paraît que « bruit et fumée » et la porte ouverte à un légalisme pieux. Il écrit alors « Von ordnung des Gottesdienst » (De l'ordre du service divin) et « Formulae Missae ». Dans cet esprit, en 1525, a lieu la première célébration de la « Messe Allemande » et son ordo est publié en 1526. Lequel sert de cadre au luthéranisme des siècles suivants. Le missel toujours utilisé dans la liturgie luthérienne est basé sur ces recommandations.

 

Anglicanisme

Le 11 juillet 1533, Clément VII excommunie Henri VIII d'Angleterre, qui s'est remarié illégalement. C'est la naissance du schisme anglican. Une Église indépendante de Rome s'organise d'abord au niveau hiérarchique sous le règne d'henri VIII, puis au niveau doctrinal à partir du règne Édouard VI. Le besoin se fait sentir d'un livre liturgique qui reflète la nouvelle doctrine. L'archevêque de Cantorbery, Thomas Cranmer, est l'architecte de ce Book of Common Prayer (dit « missel de Cranmer ») en 1549. Ce missel, en anglais, est fortement révisé en 1552 puis en 1559 et 1562. Il connait une longue évolution jusqu'à nos jours et est aujourd'hui utilisé par l'Église d'Angleterre, mais aussi pas les Églises Épiscopalienne et méthodiste des États-Unis.

Missel romain

Le Missel romain (« Missale Romanum » en latin) est le livre liturgique qui rassemble les textes (ordinaire de la messe, chants, lectures, oraisons, etc.) et les indications rituelles et musicales (rubriques), nécessaires à la célébration de la messe par le prêtre, selon le rite romain.

 

La constitution des missels au Moyen Âge

Avant le haut Moyen Âge, plusieurs livres sont utilisés pour la célébration de la messe : le sacramentaire avec la prière eucharistique (canon), les oraisons et les prières, l'évangéliaire et l'épistolier pour les lectures ou péricopes de l'Écriture Sainte, un ou plusieurs livres pour les répons et les chants (Graduel ou Antiphonaire de la messe). Peu à peu, les manuscrits intégrèrent toutes ces parties en un ou plusieurs livres formant un tout. De tels livres furent appelés Missale plenum, missel plénier c'est-à-dire complet.

Dès avant l'apparition des missels pléniers, les livres liturgiques locaux (diocèses, régions ecclésiastiques, abbayes) contenaient de nombreuses variantes locales, spécialement dans l'organisation du sanctoral, le choix des pièces chantées, le calendrier, etc. Cette diversité continue après l'apparition du missel plénier, même si la tendance vers l'unité romaine, initiée dès la période carolingienne poursuit lentement son œuvre.

Les ordres mendiants, dominicains et franciscains, apparus au XIIIe siècle, adaptèrent le missel aux besoins de leur apostolat itinérant. En 1223, saint François d'Assise demande à sa communauté d'utiliser les textes en usages à la cour de Rome.

 

La naissance du missel romain et ses premiers siècles

Les prémices de l'uniformisation romaine

Le pape Grégoire IX pensa à étendre l'usage de ce missel curial, celui révisé par les franciscains, à l'usage de toute l'Église latine, mais cela ne se traduisit pas dans les faits. En 1277, Nicolas III promulgua ce missel pour le diocèse de Rome. Grâce à la diffusion que lui assurèrent les franciscains, il se répandit par capillarité et influença en partie de nombreuses liturgies locales de rite latin. L'invention de l'imprimerie au XVe siècle accélère le processus avec l'impression du missel en usage à Rome en 1474. Avec l'imprimerie, l'uniformisation de la liturgie romaine s'accélère. Les autorités ecclésiastiques et les éditeurs locaux maintiennent néanmoins les habitudes et les particularismes diocésains en introduisant dans le texte imprimé des usages pratiqués depuis le Haut Moyen Âge.

 

Du concile de Trente à Léon XIII

Le concile de Trente perçoit le problème et demande au pape Pie IV d'établir un missel commun à l'Église latine. Ce qui est réalisé par saint Pie V le 14 juillet 1570, et la publication de la bulle Quo Primum. Par ce texte, il impose le missel de la cour pontificale à l'ensemble de l'Église latine à l'exception des lieux et des communautés possédant un rite propre depuis plus de deux cents ans. C'est le cas pour les rites lyonnais, mozarabe, ambrosien, dominicain, cartusien et celui de Braga.

Le 7 juillet 1604, le pape Clément VIII publie une nouvelle édition typique du missel romain, incorporant quelques modifications et ajouts (fêtes de saint, textes du propre). Dans ce contexte, le mot « typique » indique que le texte est celui de référence à partir duquel les autres éditions doivent être faites. L'édition typique suivante est publié le 2 septembre 1634 par le pape Urbain VIII.

Au XVIIe siècle, le rite latin est largement majoritaire dans l'Église catholique, mais les missels se diversifient, en particulier en France et dans les régions avoisinantes. À la fin du siècle, les missels locaux se multiplient, indépendants de l'édition typique romaine, publiés sous l'autorité des évêques, sous l'influence du jansénisme ecclésiastique ou gallicanisme. De nombreux diocèses publient un missel local, inspiré du missel romain, mais avec des modifications, principalement dans le sanctoral, le calendrier, ainsi que la partie sacramentaire : les oraisons et les préfaces.

C'est au milieu du XIXe siècle, par l'influence de Mgr Pierre-Louis Parisis, évêque de Langres, et de Dom Prosper Guéranger, refondateur de Solesmes, ainsi que par les débuts du mouvement liturgique que la France retrouve, non sans peine, une certaine unité liturgique autour du rite romain.

Léon XIII publie, en 1884, une nouvelle édition typique qui prend en compte les évolutions depuis Urbain VIII. Celui-ci est reçu dans toute l'Église latine sans difficulté.

 

L'époque contemporaine : grandes évolutions et « Novus Ordo »

Les remaniements du missel de Pie X à Jean XXIII

  • De même, le pape saint Pie X entreprend une nouvelle révision qui sera finalisé le 25 juillet 1920 par son successeur Benoît XV.Cette édition faisait les quelques corrections, suppressions et ajouts habituels, mais il y eut surtout des modifications dans les rubriques. Ces changements ne furent pas incorporées dans le corps du texte comme à l'habitude mais formèrent un nouveau chapître titré Additiones et variationes in rubricis Missalis.
  • Les révisions du pape Pie XII, bien que limitées au plan strictement liturgique, car ne concernant principalement que quatre jours du calendrier liturgique, eurent un impact public beaucoup plus important : en 1955, la semaine sainte est modifiée en déplaçant en particulier les heures des cérémonies. Ainsi, la veillée pascale a dorénavant lieu le samedi saint au soir et non plus le matin.
  • Dès 1960 et juste avant l'entrée en vigueur du nouveau code des rubriques, l'adjectif perfidis de la prière Oremus et pro perfidis Judaeis du Vendredi saint est supprimé. En avril 1962, suite à la réforme du « code des rubriques » en 1960, le pape Jean XXIII publie une nouvelle édition typique (comprendre le "prototype officiel", modèle de base du Vatican pour tout éditeur) du Missel romain, le Bréviaire étant paru une année auparavant. La modification la plus notable est celle concernant saint Joseph qui est ajouté au canon sacrificiel par le décret Novis hisce temporibus du 13 novembre 1962.

 

Les demandes du concile Vatican II

Le concile Vatican II est réuni entre 1962 et 1965 par le pape Jean XXIII. Lors de la deuxième session du concile à l'automne 1963, les pères conciliaires votent la constitution Sacrosanctum concilium sur la liturgie.

L'article 4 de la constitution demande que « là où il en est besoin, on révise entièrement [les livres liturgiques] avec prudence dans l'esprit d'une saine tradition et qu'on leur rende une saine vitalité en accord avec les circonstances et les nécessités d'aujourd'hui. » Dans ce but, la réforme devait supprimer les répétitions inutiles (cf. article 34).

L'article 36 stipule que « l'usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins. [...] Toutefois, soit dans la messe, soit dans l'administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l'emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple: on pourra donc lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants ».

Un des principes directeurs, particulièrement souligné par les applications pastorales postérieures au Concile, était de favoriser la participation active de tous les chrétiens, à l'aide d'une simplicité, d'une brièveté. Ainsi l'article 48 ouvre la partie consacrée à la réforme de la liturgie de la messe et donc du missel: Aussi l'Église se soucie-t-elle d'obtenir que les fidèles n'assistent pas à ce mystère de la foi comme des spectateurs étrangers ou muets, mais que, le comprenant bien dans ses rites et ses prières, ils participent consciemment, pieusement et activement à l'action sacrée, soient formés par la parole de Dieu, se restaurent à la table du Corps du Seigneur, rendent grâce à Dieu

L'article 50 résume ainsi les intentions de la réforme : Le rituel de la messe sera révisé de telle sorte que se manifestent clairement le rôle propre ainsi que la connexion mutuelle de chacune de ses parties, et que soit facilitée la participation pieuse et active des fidèles. Aussi, en gardant fidèlement la substance des rites, on les simplifiera; on omettra ce qui, au cours des âges, a été redoublé ou a été ajouté sans grande utilité; on rétablira, selon l'ancienne norme des saints Pères, certaines choses qui ont disparu sous les atteintes du temps, dans la mesure où cela apparaîtra opportun ou nécessaire.

Dans ces intentions, "l'Église reconnaît dans le chant grégorien le chant propre de la liturgie romaine; c'est donc lui qui, dans les actions liturgiques, toutes choses égales d'ailleurs, doit occuper la première place." (article 116)

 

Les missels après le concile Vatican II

La mise en œuvre de la réforme liturgique programmée à Vatican II a été engagée dès 1962 par la préparation d'une nouvelle édition du missel romain. Ces travaux ont donné lieu à une succession d'éditions expérimentales puis d'édition typiques officielles :
  • 1965: Suite à l'instruction Inter Oecumenci promulguée le 26 septembre 1964, la publication "ad experimentum" du Missel Romain latin-français en 3 volumes est appliquée le 7 mars 1965. Le propre des messes est dans les deux langues, ainsi que la messe, sauf à partir de la Préface (le dialogue d'ouverture étant en latin-français). Le psaume XLII est supprimé, le Pater est aussi chanté par les fidèles, la formule de communion des fidèles raccourcie (juste "Corpus Christi") et le « dernier Évangile » (c'est-à-dire le prologue de celui de Jean (I, 1-14)) est supprimé.
  • 1966: nouvelle édition du Missel romain latin-français en un volume. Cette édition reprend les modifications du missel en 3 volumes énoncées ci-dessus. L'emploi de la langue vernaculaire est élargi à toute la messe. Ce missel contient un code des rubriques ainsi que le nouveau Ritus servandus. La prière pour les juifs du Vendredi Saint est à nouveau modifiée. Elle sera conservée dans l'édition typique de 1969.
  • 1969 (3 avril): Constitution Apostolique Missale romanum de Paul VI qui approuve le nouvel ordo missae (sans le promulguer encore).
  • 1970 (26 mars): première édition typique du missel romain rénové, en latin, promulgué par la congrégation pour le culte divin.
  • 1975 : deuxième édition typique du Missale romanum.
  • 2000: troisième édition typique approuvée par Jean-Paul II.
  • 2001 (20 mars): instruction Liturgiam authenticam de la congrégation du culte divin, demandant aux conférences épiscopales la révision complète des traductions en langue vernaculaire, qui devront «traduire fidèlement» le texte latin; le Saint-Siège devra être associé de manière plus étroite à la préparation de ces textes. La diversité des cultures concernées par certaines langues, comme le français et l'anglais, n'a pas permis de respecter le délai de deux ans imparti par l'instruction. À ce jour, le missel en français, comme dans de nombreuses langues, est donc encore celui de la 2e édition typique.
  • 2002: publication de la troisième édition typique latine
  • 2007 : motu proprio Summorum pontificum du pape Benoît XVI approuvant l'usage légitime, dans le rite romain, de deux éditions du missel romain :
    • l'édition typique de 2002 est la forme ordinaire du rite romain.
    • l'édition typique de 1962 est la forme extraordinaire du rite romain, et peut être toujours utilisée selon les dispositions du motu proprio qui remplace les dispositions précédentes.

 

Plan et structure du missel romain ordinaire

Voici la manière dont est organisé le Missel romain dans son édition 2002 :

 

Pièces liminaires

  • Decreta : Décret daté du Jeudi Saint 2000 par lequel est promulgué le nouveau Missel.
  • Constitutio Apostolica Pauli p.p. VI "Missale Romanum" : Constitution du pape Paul VI instituant un ordo missae restauré, le 3 avril 1969
  • Institutio generalis Missalis Romani : Présentation générale du Missel romain.
  • Litterae Apostolicae motu proprio datae Pauli p.p. VI "Mysterii paschalis" : Motu proprio du pape Paul VI sur le nouveau calendrier liturgique
  • Normae universales de anno liturgico et de Calendario : Normes universelles de l'année liturgique et du calendrier.
  • Calendarium romanum generale : Calendrier romain

 

Temporale (Propre du temps)

  • Tempus Adventus (Temps de l'Avent)
  • Tempus Nativitatis (Temps de Noël)
  • Tempus Quadragesimæ (Temps du Carême)
  • Hebdomada Sancta (Semaine sainte)
  • Sacrum Triduum Paschale (Triduum pascal)
  • Tempus Paschale (Temps de Pâques)
  • Tempus «per annum» — In Dominicis et feriis (Temps ordinaire, dimanche et féries)

 

Ordo Missæ (Ordinaire de la messe)

  • Ritus initiales (Rite d'entrée)
  • Liturgia verbi (Liturgie de la parole)
  • Liturgia Eucharistica (Liturgie eucharistique)
  • Præfationes (Préfaces)
  • Preces Eucharisticæ (Prières eucharistiques)Ritus Communionis (Rite de communion)
    • Prex eucharistica 1 seu Canon romanus (Prière eucharistique I ou canon romain)
    • Prex eucharistica 2 (Prière eucharistique II)
    • Prex eucharistica 3 (Prière eucharistique III)
    • Prex eucharistica 4 (Prière eucharistique IV)
  • Ritus Conclusionis (rite de conclusion)
    • Benedictiones in fine Missæ et Orationes Super Populum (Bénédictions en fin de messe et prières sur le peuple)
    • Orationes «Super Populum» (Prières sur le peuple)
  • Appendix ad ordinem Missæ (Appendice à l'ordinaire de la messe)
    • Prex Eucharistica «de reconciliatione» 1 (Prière eucharistique "de la réconciliation" 1)
    • Prex Eucharistica «de reconciliatione» 2 (Prière eucharistique "de la réconciliation" 2)
    • Prex Eucharistica «pro variis necessitatibus» 1 (Prière eucharistique "pour différentes nécessités" 1)
    • Prex Eucharistica «pro variis necessitatibus» 2 (Prière eucharistique "pour différentes nécessités" 2)
    • Prex Eucharistica «pro variis necessitatibus» 3 (Prière eucharistique "pour différentes nécessités" 3)
    • Prex Eucharistica «pro variis necessitatibus» 4 (Prière eucharistique "pour différentes nécessités" 4)

 

Proprium de Sanctis (Propre des saints)

  • Messes propres des saints

 

Communia (communs)

  • Communia (communs)Missæ Rituales (Messes rituelles)
    • Commune dedicationis ecclesiæ (commun pour la dédicace d'une église)
    • Commune Festorum Beata Mariæ Virgine (commun des fêtes de la Bienheureuse Vierge Marie)
    • Commune Martyrum (Commun des martyrs)
    • Commune Pastorum (Commun des Pasteurs)
    • Commune Doctorum Ecclesiæ (Commun des docteurs de l'Eglise)
    • Commune Virginum (Commun des Vierges)
    • Commune Sanctorum et Sanctarum (Commun des saints et des saintes)
  • Missæ et orationes pro variis necessitatibus vel ad diversa (Messes et prières pour différentes nécessités ou pour
  • Missæ Votivæ (Messes votives)
  • Missæ Defunctorum (Messes des défunts)

 

Appendices (Appendices)

  • ii Ordo ad faciendam et aspergendam aquam benedictam (Ordinaire pour la réalisation et l'aspersion de l'eau bénite)
  • iii Ritus ad deputandum ministrum sacræ communionis ad actum distribuendat
  • iv Ordo benedictionis calicis et patenæ intra Missam adhibendus (Ordinaire pour la bénédiction du calice et la patêne pendant la messe)
  • v Specimina formularum pro oratione universali (Exemples de formules pour les prières universelles)
  • vi Preces eucharisticæ pro missis cum pueris (Prières eucharistiques pour les messes avec des enfants)Preparatio ad Missam (Préparation à la messe)
    • Prex eucharistica 1 pro missis cum pueris (Prière eucharistique 1 pour les messes avec des enfants)
    • Prex eucharistica 2 pro missis cum pueris (Prière eucharistique 2 pour les messes avec des enfants)
    • Prex eucharistica 3 pro missis cum pueris (Prière eucharistique 3 pour les messes avec des enfants)
  • Gratiarum actio post Missam (Action de grâce après la messe)
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