Le supplice d'une mère et de ses 7 enfants
Antiochus fit aussi amener devant lui une mère avec ses 7 fils et leur ordonna de manger des viandes défendues.
Ils refusèrent tous d'obéir. On les frappa de verges.
L'aîné dit au roi : "Nous sommes prêts à mourir plutôt que de désobéir à la loi de Dieu."
Le roi irrité lui fit arracher la peau de la tête, puis on lui coupa la langue, on lui scia les extrémités des pieds et des mains et on le jeta dans une chaudière bouillante.
La mère et les frères du martyr assistaient à son supplice et s'excitaient mutuellement à mourir avec courage.
Quand l'aîné eut expiré, on prit le second et on le tortura aussi.
Avant de mourir, il dit au roi : "Vous m'ôtez la vie présente, mais le Roi du Ciel, pour qui nous la perdons, nous ressuscitera un jour à la vie éternelle."
Les autres frères moururent avec un si grand courage que le roi et ceux qui l'entouraient en étaient étonnés.
Lorsqu'arriva le tour du plus jeune, le roi eut recours aux promesses et aux flatteries pour l'amener à renier le Dieu de ses frères.
La mère fut invitée à persuader son fils afin de lui sauver la vie, mais cette femme admirable, qui avait étouffé sa tendresse et sa douleur pour fortifier ses enfants, n'écouta que sa foi.
Elle s'approcha de son fils et lui dit avec tendresse : "Mon fils, je vous en conjure, regardez le Ciel, et loin de craindre ce bourreau, montrez-vous digne de vos frères, afin que je vous retrouve avec eux dans la vie éternelle."
A peine avait-elle fini de parler que l'enfant s'écria : "Qu'espérez-vous de moi ? Je n'obéis pas aux ordres du roi, mais aux ordres de Dieu.3
Le roi, transporté de fureur, fit tourmenter l'enfant plus cruellement que les autres.
Enfin, après les avoir vus tous expirer, la mère mourut à son tour en confessant son Dieu.
Ils refusèrent tous d'obéir. On les frappa de verges.
L'aîné dit au roi : "Nous sommes prêts à mourir plutôt que de désobéir à la loi de Dieu."
Le roi irrité lui fit arracher la peau de la tête, puis on lui coupa la langue, on lui scia les extrémités des pieds et des mains et on le jeta dans une chaudière bouillante.
La mère et les frères du martyr assistaient à son supplice et s'excitaient mutuellement à mourir avec courage.
Quand l'aîné eut expiré, on prit le second et on le tortura aussi.
Avant de mourir, il dit au roi : "Vous m'ôtez la vie présente, mais le Roi du Ciel, pour qui nous la perdons, nous ressuscitera un jour à la vie éternelle."
Les autres frères moururent avec un si grand courage que le roi et ceux qui l'entouraient en étaient étonnés.
Lorsqu'arriva le tour du plus jeune, le roi eut recours aux promesses et aux flatteries pour l'amener à renier le Dieu de ses frères.
La mère fut invitée à persuader son fils afin de lui sauver la vie, mais cette femme admirable, qui avait étouffé sa tendresse et sa douleur pour fortifier ses enfants, n'écouta que sa foi.
Elle s'approcha de son fils et lui dit avec tendresse : "Mon fils, je vous en conjure, regardez le Ciel, et loin de craindre ce bourreau, montrez-vous digne de vos frères, afin que je vous retrouve avec eux dans la vie éternelle."
A peine avait-elle fini de parler que l'enfant s'écria : "Qu'espérez-vous de moi ? Je n'obéis pas aux ordres du roi, mais aux ordres de Dieu.3
Le roi, transporté de fureur, fit tourmenter l'enfant plus cruellement que les autres.
Enfin, après les avoir vus tous expirer, la mère mourut à son tour en confessant son Dieu.
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